Pour bien profiter de l’entrée dans cet automne 2025, voici le 322e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci à l’immense poète français Paul Verlaine (1844-1896) pour les premiers vers de sa « Chanson d'automne » (1866, « Poèmes saturniens » qui compose le titre de cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Pour bien profiter de l’entrée dans cet automne 2025, voici le 321e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci à la grande femme de lettres française et académicienne Marguerite Yourcenar (1903-1987) pour la citation de son « Alexis, ou le Traité du vain combat » (1929) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 153e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Aerowatch, Bianchet, Breitling, Fossil, H992, Herbelin et Lip…

Pour bien profiter de l’entrée dans cet automne 2025, voici le 320e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci à la grande romancière américaine Toni Morrison (1931-2019) pour la citation de son « Beloved » (1987) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Neuvième Baromontres de l’année 2025, avec quatorze de coups de projecteur sur les grandes tendances climatologiques de l’horlogerie de ce neuvième mois de l’année. 2025 persiste et signe dans une impressionnante et angoissante ambiance de crise ! Notre Baromontres exclusif évalue les hautes pressions et les dépressions de la barométrie pour tout ce qui concerne l’industrie horlogère. Un bulletin météo en toute liberté et sans la moindre révérence, avec le seul souci d’apporter un peu de lumière sur ce millésime 2025, dont on a déjà compris qu’il ne nous réservera sans doute pas le meilleur de ces dernières années…

Quand ils ne savent plus quoi dire de leurs montres, les horlogers nous vantent la « précision » plus ou moins certifiée de leurs mouvements : autant dire rien ou pas grand-chose, cette fluctuante « précision » déclarative n’ayant la plupart du temps rien de particulièrement scientifique. On va donc se battre sur un terrain d’arrière-garde, dans un épais brouillard sémantique et avec des armes de confusion massive. C’est le genre de guerre que les marques, seules face à elles-mêmes, adorent gagner, dans une fabuleuse confusion conceptuelle autour de la « précision »…

Le très méchant Bernard Arnault (LVMH) a eu le malheur et la mauvaise idée médiatique de s’en prendre à l’iconique Gabriel Zucman, vestale économique de l’extrême gauche française, celui qui veut « taxer les riches » en leur mettant une pression fiscale qui les obligera soit à s’exiler hors de France, soit à revendre leurs entreprises à des intérêts étrangers. Cet anti-socialisme de façade de Bernard Arnault est-il bien logique ? Apparemment, l’univers Louis Vuitton fait partie bon ménage avec la faucille et le marteau…

Pour bien profiter de l’entrée dans cet automne 2025, voici le 319e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand écrivain et polémiste français Léon Bloy (1846-1917) pour la citation de son « Exégèse des lieux communs » (1902) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 152e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Baltic, Formex, Grand Seiko, March L.A.B., Stowa, Swatch et Venezianico…

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 151e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Armin Strom, Cyrus, Gérald Genta, Luminox, Oris x Bamford, Roger Dubuis et Taos…

Pour bien profiter de la fin de cet été 2025, voici le 318e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au légendaire aviateur français Jean Mermoz (1901-1936) pour la citation – qu’on lui attribue – qui compose le titre de cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 150e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Bell & Ross, Brellum, Charriol, Gérald Genta, Louis Érard x Vianney Halter, Poiray et Swatch…

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 149e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Awake, Bell & Ross, Century, Doxa, Junghans, Poiray et Sinn…

On estime qu’il y a aujourd’hui, sur les marchés du monde entier, des stocks de montres neuves qui correspondent à peu près à huit, sinon douze mois de ventes. Les tuyaux débordent. Il faudra bien les purger ! Le plus grand détaillant mésoaméricain prend les devants et lance officiellement les soldes de fin d’année. Message subliminal : ces montres n’ont plus aucune valeur…

Pour bien profiter de la fin de cet été 2025, voici le 317e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci à l’irremplaçable grand comédien et cinéaste américain John Wayne (1907-1979) pour la citation qui compose le titre de cette pictochronique [ça prouve qu’il était aussi un grand humoriste]. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…