• LE SNIPER DU WEEK-END
    Une voiture de fonction à changer, des coups de marteau qui se perdent, un transport fluidique et des chiffres qui font peur

    En vrac, en bref et en toute liberté, une brassée des dernières nouvelles horlogères d’un automne qui libèrera dès demain les lumières du solstice d’hiver : après la trêve des confiseurs, ce sera alors reparti pour une nouvelle année horlogère. Pour le meilleur comme pour le pire…

  • PICTOCHRONIQUES #353
    « L’âme médiocre, se sachant médiocre, a la hardiesse d’affirmer les droits de la médiocrité et les impose partout »

    Pour bien profiter des dernières heures de cet automne 2025 finissant, voici le 353e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand philosophe, essayiste et homme politique espagnol José Ortega y Gasset (1883-1955) pour la citation de sa « Révolte des masses » (1937) qui compose le titre à cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité d’une horlogerie en crise, à son culte de la précision, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

  • BUSINESS MONTRES x ATLANTICO
    Quand le poulpe palpite et quand la grenouille tourne de l’œil : c’est l’actualité solsticiale des montres…

    Mais aussi une date qui circule en périphérie, des couleurs qui jettent la pierre, une « patate » qui provoque, des statistiques qui font tiquer, des enchères très chères et une plongeuse bronzée… Images ci-dessous : le brutalisme d’un titane sablé sur cadran granulé (Jacques Bianchi) et la provocation d'un boîtier musclé (SevenFriday)…

  • MERCATO
    Chanel s’offre une nouvelle petite part du gâteau indépendant

    Entrée du groupe Chanel dans le capital de Kross Studio, la marque manufacture indépendante de Marco Tedeschi : une façon évidente de sécuriser les approvisionnements de Chanel, mais aussi l’indice d’une nouvelle tentation impériale dans l’univers horloger, au cœur de la bulle des indépendants…

  • PICTOCHRONIQUES #352
    « Notre capacité de douter , de critiquer et de désobéir est sans doute le seul moyen d'éviter la fin de la civilisation et d'assumer l'avenir de l'humanité »

    Pour bien profiter des dernières heures de cet automne 2025 finissant, voici le 352e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand sociologue et psychanalyste germano-américain Erich Fromm (1900-1980) pour la citation de sa « Désobéissance et autres essais » (1983) qui compose le titre à cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité d’une horlogerie en crise, à son culte de la précision, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

  • REPÉRAGES #197-2025 (accès libre)
    Aux derniers jours de l’automne, sept notations critiques sur sept nouvelles montres

    En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 197e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept objets du temps de sept marques : Czapek, Girard-Perregaux, Longines, Mido, Out of Order (OOO), Robot et Vacheron Constantin…

  • PICTOCHRONIQUES #351
    « Avec deux lignes d’écriture d’un homme, on peut faire le procès du plus innocent »

    Pour bien profiter de cet automne 2025 finissant, voici le 351e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand homme d’État et cardinal Armand Jean du Plessis de Richelieu (1585-1642) pour la citation de ses « Mémoires pour servir à l’histoire d’Anne d’Autriche » (1723) qui compose le titre à cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité d’une horlogerie en crise, à son culte de la précision, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

  • HISTOIRE DE L’HORLOGERIE (accès libre)
    Le « geste horloger », un savoir-être qui dépasse de loin le savoir-faire industriel

    Dans ses travaux académiques, le jeune historien genevois de l’horlogerie Sébastien Ratcliff s’est intéressé à un nouveau concept : le « geste horloger », notion élémentaire – quoique méconnue – des beaux-arts de la montre, qui a par exemple permis la revitalisation de l’horlogerie genevoise après la violente saignée économique du quartz. Présentation et précisions par ce chercheur très prometteur…

  • REPÉRAGES #196-2025 (accès libre)
    Sept mises au point argumentées sur sept nouvelles offres pré-hivernales

    En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 196e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept objets du temps de sept marques : Albishorn, Breitling, Eska, Frederique Constant, Jaquet Droz, Ressence et Undone…

  • REPÉRAGES #195-2025 (accès libre)
    Sept nouvelles propositions horlogères et sept points de vue critiques à leur sujet

    En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 195e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept objets du temps de sept marques : Alexander Shorokhoff, Armin Strom, Ball Watch, Bamford x Selfridges x Disney, Jaquet Droz, Undone et Vero Watch Co. x Realtree…

  • PICTOCHRONIQUES #350
    « L’humour est une tentative pour décaper les grands sentiments de leur connerie »

    Pour bien profiter de cet automne 2025 finissant, voici le 350e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand écrivain français Raymond Queneau (1903-1976) pour la citation de son « Journal intime de Sally Mara » (1950) qui compose le titre à cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité d’une horlogerie en crise, à son culte de la précision, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

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