Pour cette session d’automne des enchères genevoises, avec les innombrables records battus chez les uns et les autres, on va dépasser allègrement la grosse centaine de millions de dollars pour un gros millier de montres dispersées. Il est clair que les montres d’hier se vendent mieux que celles d’aujourd’hui et que les marques d’aujourd’hui feraient mieux de s’inspirer de ce qu’elles savaient faire hier…

On avait entendu tout et son contraire avant cette séquence d’automne 2025 des enchères horlogères à Genève. Ce samedi, la première session a prouvé la robustesse de la demande, dans à peu près tous les compartiments du jeu et même à tous les niveaux de prix…

Alors que le marché des montres neuves piétine et s’embourbe dans ses ornières en reculant de mois en mois, le marché de la seconde main commence à le talonner. Les enchères de ce week-end à Genève seront un excellent crash test pour les montres de collection, à tous les niveaux de prix. En commençant par les icônes en acier qui vont flirter avec les 20 millions d’euros…

Mais aussi une icône de titane, une « plongeuse » qui plonge plus bas que les océans, un carrée qui tourne rond, une série tricolore, des taxes mal digérées et des enchères endiablées… Images ci-dessous : un univers pop réenchanté par une mécanique hybride (Electra)…

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 172e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Ba111od, B.R.M. Chronographes, Citizen, Grand Seiko, Nomos Glashütte, Tissot et Vacheron Constantin…

Pour bien profiter de cet automne 2025, voici le 334e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand président américain John Fitzgerald Kennedy (1917-1963) pour la citation (discours prononcé à Dublin, le 28 juin 1963) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie, à son culte de la précision, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 171e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Altneu, Hamilton, Lebois & Co., MAT Mer-Air-Terre, Omega, Seiko x Bamford et Trump…

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 170e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Casio, Diesel, Fossil, Kelton, Louis Érard, Memorigin et Urban Jürgensen…

Pour bien profiter de cet automne 2025, voici le 333e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au fameux dirigeant chinois Mao Zedong (Mao Tsé-toung : 1893-1976) pour la citation d’une de ses allocutions (pendant la « campagne des cent fleurs ») qui compose le titre de cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie, à son culte de la précision, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 169e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Alpina, Bell & Ross, Emporio Armani, Gérald Charles, Girard-Perregaux, Seiko et Sinn…

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 168e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Brellum, Jacques Bianchi Marseille, Jaeger-LeCoultre, Michael Kors, Orient, Ralf Tech et Tissot…

Pour bien profiter de cet automne 2025, voici le 332e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand président républicain américain Abraham Lincoln (1809-1865) pour la sentence qu’on lui attribue (elle pourrait également être de Peter Drucker) et qui compose le titre de cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie, à son culte de la précision, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Mais aussi un pilotage furtif qui donne des sueurs froides, des fuseaux qui passent au vert, un compte à rebours teinté de bleu, un automne horloger et douze pans de titane superlatif… Images ci-dessous : un miroitement nacré pour faire de l’œil aux sirènes (Yema)…

C’est une des plus anciennes marques disruptives de la « nouvelle génération » (celle de l’aube des années 2000). Au fil des lustres, elle n’a pas manqué d’être chahutée par de multiples crises de croissance, sans jamais rien perdre de son identité et de sa singularité. Aujourd’hui, à l’orée de la plus grave crise horlogère depuis la « révolution du quartz », on la dit à vendre, sinon déjà vendue. De quoi cette rumeur est-elle le nom ?

On ne résiste pas au plaisir de vous restituer une chronique du Sniper de « Business Montres » récemment exhumée de nos archives. Avec cette citation de l’historien Marc Bloch, dans son « Apologie de l’histoire » publiée en 1941 : « Aussi bien que des individus, il a existé des époques mythomanes (...) Le Moyen-Âge, surtout du VIIIe au XIIe siècle, est un exemple de cette épidémie collective... Comme si, à force de vénérer le passé, on était naturellement conduit à l’inventer »…