On se demande s’il faut en rire ou en pleurer : animation consternante et palmarès dérisoire ont marqué cette édition 2025 du GPHG, qui s’enfonce année après année dans une spirale d’autodestruction que rien ne semble pouvoir arrêter. Bien sûr, tout le monde était ravi de s’auto-congratuler…

90 montres en compétition : un peu plus de quatre sur cinq seront éliminées ce soir ! Quinze prix « officiels » et cinq prix à la disposition du jury, qui agglomère à la fois les voix de l’Académie et celles des jurés physiques : l’exercice est rendu opaque et imprévisible par le jeu des déclassements et des reclassements d'un prix à l'autre. Le GPHG reste une boîte noire où tout est possible puisque, de toute façon, les prix sont quasiment pré-attribués par qui vous savez à qui vous savez…

Pour bien profiter de cet automne 2025, voici le 337e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand maréchal français Ferdinand Foch (1851-1929), généralissime vainqueur de la Grande Guerre, pour la citation qui compose le titre à cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité d’une horlogerie en crise, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 175e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Artisans de Genève x Giorgia Mondani, Auricoste, Bangalore Watch Company, Casio G-Shock, Mido, Roger Dubuis et Swatch…

Fin de la pluie de records battus chez les uns et les autres pendant cette session d’automne des enchères genevoises : on dépassera allègrement les 140 millions de dollars pour un gros millier de montres dispersées – ce qui est un autre record. Reste à comprendre pourquoi les montres d’hier se vendent mieux que celles d’aujourd’hui : n’est-ce pas que les marques d’aujourd’hui devraient s’inspirer de ce qu’elles savaient faire hier ?

Pour bien profiter de cet automne 2025, voici le 336e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci à Joseph Kessel et Maurice Druon, paroliers du « Chant des partisans » (1943), hymne de la résistance française pendant la Seconde Guerre mondiale, dont la citation sert de titre à cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité d’une horlogerie en crise, à son culte de la précision, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 174e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Angelus, Chronofixe, Grand Seiko, Hermès, Jaeger-LeCoultre, Swatch et Vacheron Constantin…

Pour cette session d’automne des enchères genevoises, avec les innombrables records battus chez les uns et les autres, on va dépasser allègrement la grosse centaine de millions de dollars pour un gros millier de montres dispersées. Il est clair que les montres d’hier se vendent mieux que celles d’aujourd’hui et que les marques d’aujourd’hui devraient s’inspirer de ce qu’elles savaient faire hier…

Le marché horloger grince, mais les bourses aux montres tournent rond : portées par un contexte économique qui aurait bien besoin d’un coup de WD-40, elles ont le vent en poupe, et c’est tant mieux. « Business Montres » était à La Chaux-de-Fonds pour le vérifier…

Pour cette session d’automne des enchères genevoises, avec les innombrables records battus chez les uns et les autres, on va dépasser allègrement la grosse centaine de millions de dollars pour un gros millier de montres dispersées. Il est clair que les montres d’hier se vendent mieux que celles d’aujourd’hui et que les marques d’aujourd’hui feraient mieux de s’inspirer de ce qu’elles savaient faire hier…

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 173e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Depancel, Franck Muller, Grand Seiko, Hanhart, Swatch, Tissot et Vacheron Constantin…

On avait entendu tout et son contraire avant cette séquence d’automne 2025 des enchères horlogères à Genève. Ce samedi, la première session a prouvé la robustesse de la demande, dans à peu près tous les compartiments du jeu et même à tous les niveaux de prix…

Alors que le marché des montres neuves piétine et s’embourbe dans ses ornières en reculant de mois en mois, le marché de la seconde main commence à le talonner. Les enchères de ce week-end à Genève seront un excellent crash test pour les montres de collection, à tous les niveaux de prix. En commençant par les icônes en acier qui vont flirter avec les 20 millions d’euros…

Pour bien profiter de cet automne 2025, voici le 335e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand poète français Guillaume Apollinaire (1880-1918) pour la citation de son livre « Les peintres cubistes » (1913) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie, à son culte de la précision, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Mais aussi une icône de titane, une « plongeuse » qui plonge plus bas que les océans, un carrée qui tourne rond, une série tricolore, des taxes mal digérées et des enchères endiablées… Images ci-dessous : un univers pop réenchanté par une mécanique hybride (Electra)…