« Intéressantes » à différents points de vue, même si elles ne sont pas forcément (...)
En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont (...)
Pour bien profiter de la fin de cet été 2025, voici le 310e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand philosophe français Clément Rosset (1939-2018) pour la citation de son livre « Le réel et son double » (1976) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité trumpienne de l’horlogerie, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…
On a du mal à réaliser que la maison ArtyA (« Art Yvan Arpa ») est sur la brèche depuis déjà dix-sept ans : elle est passée par tant de métamorphoses, de provocations et de disruptions qu’on a l’impression qu’elle est toujours toute neuve. Elle est en train de se trouver une identité formelle dans la singularité minérale, dans la pureté cristalline et dans l’architecture mécanique. Vaste programme…
En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 141e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Backes & Strauss, Dennison, Greubel Forsey, Louis Érard, Louis Moinet, Memorigin et Sinn…
Pour bien profiter de la fin de cet été 2025, voici le 309e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand écrivain, journaliste et cinéaste italien Curzio Malaparte (1898-1957) pour la citation de ses « Fuites en prison » (1936) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité trumpienne de l’horlogerie, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…
En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 140e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Armin Strom, Ball Watch, Earthen Co., ExAequo, Fossil, Piaget et Vacheron Constantin…
2025 était l’année idéale pour l’ouverture du Grand prix d’horlogerie de Genève (GPHG) : près de 200 marques en compétition et plus de 300 montres inscrites. Une jolie promesse d’air frais ! On a au contraire refermé toutes les issues, en concentrant la présélection sur une grosse douzaine de marques qui cumulent déjà, toutes ensemble, une centaine de prix au GPHG. En ajoutant le ridicule au déshonneur, on a repris les mêmes et on va recommencer…
En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 139e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Delma, Jaquet Droz, Louis Érard, Massena Lab x Vianney Halter, Ming, Piaget et Taos…
Huitième Baromontres de l’année 2025, avec une douzaine de coups de projecteur sur les grandes tendances climatologiques de l’horlogerie de ce huitième mois de l’année. 2025 persiste et signe dans une impressionnante et angoissante ambiance de crise ! Notre Baromontres exclusif évalue les hautes pressions et les dépressions de la barométrie pour tout ce qui concerne l’industrie horlogère. Un bulletin météo en toute liberté et sans la moindre révérence, avec le seul souci d’apporter un peu de lumière sur ce millésime 2025, dont on a déjà compris qu’il ne nous réservera sans doute pas le meilleur de ces dernières années…
En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 138e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Beda’a, Bianchet, HYT, Junghans, Mido, Seiko et Struc…
Pour bien profiter de la fin de cet été 2025, voici le 308e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand philosophe et moraliste français Michel Onfray (né en 1959) pour la citation d’une interview de 2005 (« Le Point ») qui compose le titre de cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité trumpienne de l’horlogerie, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…
Mais aussi une petite seconde qui vaut son pesant de platine, l’art de rester amusant et accessible avec une pile, un Gaulois réfractaire face à un coffre hermétique, une jolie dame avec une jolie montre et un rendez-vous très attendu… Images ci-dessous : un style archéo-futuriste proche du « steampunk » (Massena Lab x Vianney Halter)…
En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 137e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Aerowatch, Longines, Loresum, Nivada Grenchen, Parmigiani Fleurier, Pierre Lannier et Seiko…
Sur les marchés de la montre, le temps est à l’orage, avec la grêle des droits de douane, le tonnerre d’un luxe qui fatigue et les éclaircies des équipes créatives qui ont tout compris. Si une montre synthétise les nouvelles valeurs de ces prochaines années, c’est bien la M.A.D.1S « Grow your Dreams » co-créée par M.A.D.Editions et l’artiste britto-nigérian Yinka Ilori…
Pour bien profiter de la fin de cet été 2025, voici le 307e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand historien et stratège grec de l’Antiquité Thucydide (460-395 av. J.-C.) pour la citation de sa « Guerre du Péloponnèse » (paru à la fin du Ve siècle av. J.C.) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité trumpienne de l’horlogerie, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…
En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 136e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : A. Lange & Söhne, Arnold & Son, Blanbois, Breitling, M.A.D.Editions, Pierre Lannier et Raketa…
