En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 144e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Akhor, Berneron, Berney, Breguet, Hublot, Grand Seiko et Sartory-Billard…

Pour bien profiter de la fin de cet été 2025, voici le 314e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand comédien français Jean Gabin (1904-1976) pour la citation d’un de ses répliques dans « Le cave se rebiffe » (un film de Gilles Grangier, dialogues de Michel Audiard, 1961) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 143e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : A. Lange & Söhne, Doxa, Ebel, Edox, L.Leroy, Mido et Seiko…

Pour bien profiter de la fin de cet été 2025, voici le 313e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand photographe français Robert Doisneau (1912-1994) pour la citation trouvée dans « Un certain Robert Doisneau » (1999) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

« Intéressantes » à différents points de vue, même si elles ne sont pas forcément les plus belles, les plus chères ou les plus disruptives : en revanche, on a pu apprécier leur réussite esthétique, leur positionnement commercial, leur style affirmé, leurs avancées mécaniques et tant d’autres qualités – parfois inattendues – qu’on retrouvera dans ces différentes séquences. Une sélection personnelle, finalement pas si arbitraire que ça : l’admiration n’exclue en rien la critique pour cette séquence de rattrapage pour les montres qui ont raté les sept premières marches du podium…

« Intéressantes » à différents points de vue, même si elles ne sont pas forcément les plus belles, les plus chères ou les plus disruptives : en revanche, on a pu apprécier leur réussite esthétique, leur positionnement commercial, leur style affirmé, leurs avancées mécaniques et tant d’autres qualités – parfois inattendues – qu’on retrouvera dans ces différentes séquences. Une sélection personnelle, finalement pas si arbitraire que ça : l’admiration n’exclue en rien la critique…

« Intéressantes » à différents points de vue, même si elles ne sont pas forcément les plus belles, les plus chères ou les plus disruptives : en revanche, on a pu apprécier leur réussite esthétique, leur positionnement commercial, leur style affirmé, leurs avancées mécaniques et tant d’autres qualités – parfois inattendues – qu’on retrouvera dans ces différentes séquences. Une sélection personnelle, finalement pas si arbitraire que ça : l’admiration n’exclue en rien la critique…

« Intéressantes » à différents points de vue, même si elles ne sont pas forcément les plus belles, les plus chères ou les plus disruptives : en revanche, on a pu apprécier leur réussite esthétique, leur positionnement commercial, leur style affirmé, leurs avancées mécaniques et tant d’autres qualités – parfois inattendues – qu’on retrouvera dans ces différentes séquences. Une sélection personnelle, finalement pas si arbitraire que ça : l’admiration n’exclue en rien la critique…

Pour bien profiter de la fin de cet été 2025, voici le 312e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand homme politique et orateur latin Marcus Tullius Cicero (Cicéron en français : 106-43 av. J.C.) pour la citation qui compose le titre de cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

« Intéressantes » à différents points de vue, même si elles ne sont pas forcément les plus belles, les plus chères ou les plus disruptives : en revanche, on a pu apprécier leur réussite esthétique, leur positionnement commercial, leur style affirmé, leurs avancées mécaniques et tant d’autres qualités – parfois inattendues – qu’on retrouvera dans ces différentes séquences. Une sélection personnelle, finalement pas si arbitraire que ça : l’admiration n’exclue en rien la critique…

« Intéressantes » à différents points de vue, même si elles ne sont pas forcément les plus belles, les plus chères ou les plus disruptives : on a pu apprécier leur réussite esthétique, leur positionnement commercial, leur style affirmé, leurs avancées mécaniques, etc. Une sélection personnelle, finalement pas si arbitraire que ça : l’admiration n’exclue en rien la critique…

« Intéressantes » à différents points de vue, même si elles ne sont pas forcément les plus belles, les plus chères ou les plus disruptives : on a pu apprécier leur réussite esthétique, leur positionnement commercial, leur style affirmé, leurs avancées mécaniques, etc. Une sélection personnelle, finalement pas si arbitraire que ça : l’admiration n’exclue en rien la critique…

Pour bien profiter de la fin de cet été 2025, voici le 311e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand poète français Louis Aragon (1897-1982) pour la citation de son fameux « Est-ce ainsi que les hommes vivent » (« Le roman inachevé », 1956) qui compose le titre de cette pictochronique et qui a été chanté par Léo Ferré en 1961. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

« Intéressantes » à différents points de vue, même si elles ne sont pas forcément les plus belles, les plus chères ou les plus disruptives : on a pu apprécier leur réussite esthétique, leur positionnement commercial, leur style affirmé, leurs avancées mécaniques, etc. Une sélection personnelle, finalement pas si arbitraire que ça, l'admiration n'excluant pas la critique…

Pour bien profiter de la fin de cet été 2025, voici le 310e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand philosophe français Clément Rosset (1939-2018) pour la citation de son livre « Le réel et son double » (1976) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité trumpienne de l’horlogerie, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…