Pour bien profiter de cet automne 2025 finissant, voici le 348e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand écrivain tchèque devenu français Milan Kundera (1929-2023) pour la citation de son roman « L’immortalité » (1990) qui compose le titre à cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité d’une horlogerie en crise, à son culte de la précision, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

L’actualité horlogère s’assoupit avec l’approche de Noël et des vacances horlogères, qui vont durer cette année plus longtemps que jamais. On vous a quand même trouvé de quoi vous informer, vous réjouir, vous indigner et vous amuser. Il faut de tout pour faire un monde horloger...

Il y a les médias perroquets qui vous donnent le montant de l’enchère après… la diffusion du communiqué de presse officiel. Et il y a les médias indépendants qui vous annoncent deux jours avant l’adjudication un possible record du monde à dix millions – hélas, avec une marge d'erreur de huit cent mille dollars : promis, on fera mieux la prochaine fois !

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 192e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept objets du temps de sept marques : A. Lange & Söhne, Cuervo y Sobrinos, Delcona, Franck Muller, Ralf Tech, U-Boat et Vulcain…

Pour bien profiter de cet automne 2025 finissant, voici le 347e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand homme d’État britannique Winston Churchill (1874-1965) pour la citation qui compose le titre à cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité d’une horlogerie en crise, à son culte de la précision, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Onzième Baromontres de l’année 2025, avec quinze coups de projecteur sur les grandes tendances climatologiques de l’horlogerie de ce onzième mois de l’année. 2025 persiste et signe dans une impressionnante et angoissante ambiance de crise ! Notre Baromontres exclusif évalue les hautes pressions et les dépressions de la barométrie pour tout ce qui concerne l’industrie horlogère. Un bulletin météo en toute liberté et sans la moindre révérence, avec le seul souci d’apporter un peu de lumière sur ce millésime 2025, dont on a déjà compris qu’il ne nous aura pas réservé le meilleur de ces dernières années…

Mais aussi la main du chirurgien sous le marteau, la leçon mémorielle d’un designer contemporain, le pêcheur de perles en eaux pas profondes, la dialectique futuriste du verre et de l’acier dans un carré de lumière et les nouvelles pas nouvelles de cette fin d’année… Images ci-dessous : la plénitude d’une couleur royale pour une montre qui aurait pu être portée par un roi, avec son architecture régalienne (Breguet)…

On vous promet un coup de gueule de « Cloclo » contre les montres Cartier, les premiers coups de feu d’un duel médiatique avec le groupe LVMH et une main de fer qui reste la seule vraie montre « digitale » de l’histoire horlogère…

Pour bien profiter de cet automne 2025 finissant, voici le 346e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand écrivain irlandais Oscar Wilde (1854-1900) pour la citation qui lui est attribuée et qui compose le titre à cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité d’une horlogerie en crise, à son culte de la précision, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 191e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept objets du temps de sept marques : Breguet, Brellum, Mido, Panerai, Pilo & Co., Seiko et TAG Heuer…

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 190e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept objets du temps de sept marques : Breguet, Brew Watch Co., Hermès, Ikepod, Jacques Lemans, Panerai et Zenith…

Pour bien profiter de cet automne 2025 finissant, voici le 345e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand écrivain et philosophe français Albert Camus (1913-1960) pour la citation de son essai « L’Été, retour à Tipasa » (1952) qui compose le titre à cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité d’une horlogerie en crise, à son culte de la précision, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 189e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept objets du temps de sept marques : Breguet, Certina, Christopher Ward x Studio Underd0g, Kokogol, Junghans, La Vallée et Swatch x Omega…

Pour bien profiter de cet automne 2025 finissant, voici le 344e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci à l’immense théoricien, écrivain et stratège situationniste français Guy Debord (1931-1994) pour la citation de ses « Commentaires sur la Société du Spectacle » (1988) qui compose le titre à cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité d’une horlogerie en crise, à son culte de la précision, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Mais aussi l’inspiration qui vient aux aventurières, le style militaro-sablé de la petite sœur, des altitudes étoilées à perpétuité, un salon qui démonétise les autres salons et l’élégance en tweed doré… Images ci-dessous : des heures, des jours, des mois et des années jusqu’en 2100 (recto et verso : De Bethune)…